MOT DU DIRECTEUR GENERAL DE L’ADMINISTRATION ET DES FINANCES DU GROUPE SCOLAIRE JEAN DE LA FONTAINE.

Gloire à Dieu, Allah, le Tout Puissant, le Miséricordieux, l’Omniscient, l’Omniprésent, l’Omnipotent et à son Prophète, Mouhamed, Ya Rassouloulah (PSL), pour m’avoir donné, par le biais de mes deux Parents, l’opportunité d’écrire cette page.
A ma défunte Maman chérie, Adja Fatou Ndiaye, Paix à son âme, que Dieu l’accueille dans son plus haut Paradis.
A mon Papa chéri, Michel Claver Gbaya, dit « Papa Gbaya », je souhaite longévité et une santé de fer.
A Toute la Famille Gbayala Famille Gbaya et à toute la Communauté éducative du Groupe Scolaire Jean de La Fontaine, merci pour le précieux soutien.
A vous Visiteurs de notre Site, j’adresse ma toute profonde gratitude, pour votre marque d’attention, de considération à l’égard de notre Institution, le Groupe Scolaire Jean de La Fontaine.

Faut-il le souligner, Le Groupe Scolaire Jean de La Fontaine est une Société Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (SURL) qui appartient à mon papa Michel Claver Gbaya, le Fondateur, le Déclarant Responsable et le Président Directeur Général. Il comprend trois (03) établissements (entités) :
-->le Collège Moderne Jean de La Fontaine (CMJLF)
-->le Collège Technique de Dakar (CTD),
-->L’Université Amadou Hampaté BA de Dakar (UAHB), qui a vu le jour en novembre 2006 ; un établissement d’Enseignement supérieur privé laïc autorisé par l’Etat du Sénégal par l’Agrément définitif n°0040/AG/ME/DES du 03 Avril 2008.
Très tôt orphelin de père et de mère, après une enfance particulièrement difficile, Papa Gbaya est arrivé à Dakar (Sénégal), le 12 octobre 1961, en provenance de son pays natal, le Dahomey d’alors aujourd’hui Bénin. Il s’inscrit en Droit à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université de Dakar, devenue aujourd’hui Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). Son objectif était de faire une courte formation de deux (02) à trois (03) ans, ensuite rentrer chez lui pour s’occuper de ses grands-parents notamment son grand-père Kouniassey qui l’avait beaucoup soutenu. Etudiant sans bourse d’études, pour subvenir à ses besoins vitaux, il s’était fait engager comme enseignant dans une école privée sise à la Gueule-Tapée dénommée « la Fraternité».
Son talent et son dévouement pour l’Enseignement avait attiré l’attention de L’Inspecteur de l’Enseignement élémentaire M. Carthoux qui était venu visiter l’école, à tel point qu’il l’avait fortement conseillé de rester au Sénégal et de s’investir dans le sous-secteur de l’Enseignement privé, qui selon lui était plein d’avenir. Après avoir longtemps hésité, il se lança finalement dans ce sous-secteur en créant à la Médina-Dakar, sa propre école dénommée « Ecole privée Jean de La Fontaine », une école préscolaire devenue élémentaire et finalement moyenne - secondaire avec le Collège Moderne Jean de La (CMJLF) en 1972. A cette époque, l’Enseignement privé surtout laïc était le parent pauvre de l’Education Nationale. Il ne bénéficiait pas de subvention de l’Etat et seuls les élèves exclus des écoles publiques s’y inscrivaient à des tarifs dérisoires. Ainsi, beaucoup d’écoles privées avaient très tôt fermé leurs portes, faute de moyen. Mais lui, grâce à la bénédiction divine et à sa persévérance, il a pu tenir tête à l’adversité.
Vers 1995, son établissement, le Collège Moderne Jean de La Fontaine reçoit la visite de l’Inspecteur Général d’Etat M. Diarra, célèbre pour sa rigueur, sa compétence et surtout son intransigeance.
Dans son rapport, M. Diarra fait constater ce qui suit : Excellents résultats au CFEE, à l’Entrée en 6ème, au BFEM, au Baccalauréat ; Premier établissement privé d’Enseignement laïc à avoir enregistré en 1991, un lauréat au Concours général. Concours qui était jusque- là, l’apanage exclusif des établissements publics et des écoles privées confessionnelles. Des bons résultats scolaires dans des locaux pourtant exigus. Des prouesses qui avaient valu au Déclarant Responsable, de nombreuses lettres de félicitations de la Tutelle, une décoration de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite en 1981 et une décoration aux Palmes Académiques en 1983.
Ainsi, beaucoup d’écoles privées avaient très tôt fermé leurs portes, faute de moyen. Mais lui, grâce à la bénédiction divine et à sa persévérance, il a pu tenir tête à l’adversité.

Vers 1995, son établissement, le Collège Moderne Jean de La Fontaine reçoit la visite de l’Inspecteur Général d’Etat M. Diarra, célèbre pour sa rigueur, sa compétence et surtout son intransigeance.
Dans son rapport, M. Diarra fait constater ce qui suit :
Excellents résultats au CFEE, à l’Entrée en 6ème, au BFEM, au Baccalauréat ;
Premier établissement privé d’Enseignement laïc à avoir enregistré en 1991, un lauréat au Concours général. Concours qui était jusque- là, l’apanage exclusif des établissements publics et des écoles privées confessionnelles.
Des bons résultats scolaires dans des locaux pourtant exigus.
Des prouesses qui avaient valu au Déclarant Responsable, de nombreuses lettres de félicitations de la Tutelle, une décoration de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite en 1981 et une décoration aux Palmes Académiques en 1983.

Et, considérant ces performances, pour décongestionner son collège, sur Directive du Président de la République d’alors, Son Excellence Monsieur Abdou Diouf, un terrain lui avait été attribué à la Zone B, Rocade Fann Bel-Air, où il a d’abord construit le Collège Technique de Dakar (CTD) en 2003, puis l’Université Amadou Hampaté Ba de Dakar (UAHB) en 2006.
Son Crédo étant la recherche permanente de l’Excellence, l’UAHB a connu un développement tout aussi fulgurant que le Collège Moderne Jean de La Fontaine.

En effet, en moins de dix (10) ans de fonctionnement, en 2013, la presque totalité de ses diplômes 13, sont reconnus par le CAMES. Une performance jamais égalée qui hisse l’UAHB parmi les meilleures Universités privées du Sénégal, voire de l’Afrique noire francophone.
La validité de cette reconnaissance étant arrivée à terme, le processus de renouvellement de tous ses diplômes est en cours.
Déjà, deux diplômes sont reconnus par le Colloque PRED/CAMES de 2021 :
-->La licence ès Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication, spécialité Informatique ;
-->La licence professionnelle ès Sciences Agroalimentaires, Spécialité, Industries agroalimentaires.
Au regard de ses services rendus à la Nation sénégalaise, pendant soixante (60) ans, ayant gravi progressivement avec succès tous les Ordres d’Enseignement, Pionnier de l ‘Enseignement privé laïc au Sénégal, le sénégalais d’adoption, béninois d’origine, Papa GBAYA, a été élevé au grade d’Officier dans l’Ordre National du Lion, par Son Excellence Monsieur Le Président Macky Sall, lors du 60ème anniversaire de l’Indépendance du Sénégal, le samedi 04 avril 2020.

UNE CONSECRATION BIEN MERITEE.
ENCORE UNE FOIS MERCI, MILLE FOIS MERCI.

Dr Jimmy GBAYA